Samedi 14 Novembre - TOUR DE CHAUFFE DANS LE GERS

Publié le par Comité Europe-Ecologie du Gers

La visite de Gérard Onesta, samedi 14 Novembre, 
relatée par la presse locale :

La Dépêche du Midi – 15 Novembre 2009

EN VUE

Gérard Onesta et Europe-Ecologie


nullGérard Onesta, député vert, ancien vice-président du parlement européen, était hier à Auch pour donner le coup d’envoi de la campagne d’Europe-Ecologie pour les prochaines élections régionales. Comme il le soulignait, avec la porte-parole gersoise, Fatma Adda, le mouvement entend bien profiter de la côte de popularité de l’électorat, qui a étonné aux dernières européennes et s’est, depuis, confirmé, à chaque scrutin partiel. " La crédibilité, ce n’est pas seulement le programme, ce sont les femmes et les hommes pour l’incarner, des gens qui connaissent bien les sujets particuliers et qui n’ont pas l’ambition d’une carrière politique mais celle de servir leur société ".

 


Ce constat, qui est l’analyse d’une victoire, mais aussi une façon de faire de la politique autrement, Gérard Onesta entend bien le conduire jusqu’au bout et faire trembler la région ou installer Europe-Ecologie à sa tête. Gérard Onesta veut que les élus fassent de la politique autrement, avec une vraie réflexion en quatre temps. Une concertation, une décision collégiale, la transparence dans toutes les actions et enfin une évaluation du travail des élus … et par dessus tout, à Europe-Ecologie, l’interdiction du moindre cumul. Ces hommes et ces femmes crédibles, Gérard Onesta les présentera le 5 décembre à Toulouse … Jusqu’alors, aucun nom ne sera dévoilé, mais le chef de file promet un équilibre sociologique et de compétence entre les 107 candidats de la région. Gérard Onesta espère férocement un printemps vert, le 21 mars.



Sud-Ouest - Dimanche 15 Novembre 2009

RÉGIONALES.
Europe Écologie, en précampagne hier dans le Gers, dévoilera ses candidats le 5 décembre

Les écologistes font leur tour de chauffe

 

Autour de Gérard Onesta, plusieurs acteurs de la future campagne d'Europe Écologie dans le Gers. (Photo michel amat)" Vous avez aimé les européennes, vous adorerez les régionales ". Ce pourrait être un slogan, c'est en tout cas l'assurance de Gérard Onesta, en visite hier dans le Gers. Le chef de file d'Europe Écologie pour les régionales en Midi-Pyrénées espère bien surfer sur le succès du dernier scrutin continental, lors duquel son mouvement avait obtenu 16,18 % des suffrages au niveau national, 16,42 % au niveau régional et 13,59 % dans le Département.

 

Mouvement " bankable "

Ce n'est plus la même musique. Europe Écologie est devenu " bankable. " Un mouvement capable d'obtenir sans sourciller " un prêt de 500 000 euros pour la campagne auprès d'une banque " ou d'offrir un jeu de tarot, écologiste forcément, aux journalistes présents. " Pour la première fois, nous nous engageons dans une campagne des régionales non pas pour simplement témoigner mais pour gagner ", rappelle Onesta.

 

Hier, d'Auch à Vic-Fezensac, où le " Syndrome du Titanic " de Nicolas Hulot était projeté, les écologistes ont donc entamé leur " tour de chauffe. " La campagne officielle, elle, débutera le 5 décembre lorsque les candidats, dont les Gersois, seront en grande partie dévoilés. Alors qu'il planche sur son programme, le mouvement souhaite innover en proposant une nouvelle façon de gouverner les collectivités et en donnant la priorité à la création d'emplois de proximité et environnementaux. Dans la liste, il n'y aura " aucun cumulard ", martèle le leader régional qui se veut " rassembleur. " Dans le Gers, trois Verts et six " non Verts " devraient se porter candidats.

Auteur : J.-C G.

 


Sud-Ouest  -  Jeudi 19 Novembre 

VIC-FEZENSAC.
Le film de Nicolas Hulot soulève le débat 

MM. Onesta et Rui Santos Oliveira ont animé le débat. (PHOTO Pierre DUPOUY)Ciné Vic et l'Office de tourisme ont projeté samedi le film réalisé par Nicolas Hulot, « Le Syndrome du Titanic ». Un débat sur le thème « solidarité conjuguée à l'écologie » a suivi la séance.

Gérard Onesta, ancien vice-président du Parlement européen, a mis en exergue l'origine des responsabilités : « Si on commence à distribuer les torts, il faudrait mettre en haut du tableau la classe politique, celle qui a la gestion de notre pays. Si elle avait eu le courage de ses opinions et de ses actes, nous n'en serions pas là aujourd'hui, a-t-il dénoncé. Elle lance des cris d'alarme parce que rien ne va plus, le responsable n'est pas forcément celui qui paie et on ose nous parler de développement durable. » Il a invité toutes les classes sociales à agir ensemble, avec civisme.


Rui Oliveira Santos, professeur d'économie à Lisbonne, a souligné, quant à lui, que les solutions passent par les hautes sphères du pouvoir politique, économique et scientifique et non chez le citoyen qui doit faire du covoiturage pour préserver les énergies.

 

 

Publié dans EELV Gers

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